La Débâcle

La Débâcle (paragraphe n°110)

Partie : PREMIERE PARTIE, chapitre I

Maintenant, à l'orient, le jour blanchissait, un jour louche d'une infinie tristesse, sur les tentes endormies, dans l'une desquelles on commençait à distinguer les faces terreuses de Loubet et de Lapoulle, de Chouteau et de Pache, qui ronflaient toujours, la bouche ouverte. Une aube de deuil se levait, parmi les brumes couleur de suie qui étaient montées, là-bas, du fleuve lointain.

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