La Terre

La Terre (paragraphe n°2951)

Chapitre II

Fouan resta là, raidi, immobile, devant cette porte impitoyable, pendant que, derrière lui, la pluie continuait avec son roulement monotone. Enfin, il se retourna, il se renfonça dans la nuit d'encre, que noyait cette chute lente et glacée du ciel.

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