Il tâtait le pied, le trouvait froid, n’y sentait plus battre le pouls. Son visage était devenu très grave, avecun pli de la lèvre, qui lui était particulier, en face des cas inquiétants.
Le site des archives d'Emile Zola
Il tâtait le pied, le trouvait froid, n’y sentait plus battre le pouls. Son visage était devenu très grave, avecun pli de la lèvre, qui lui était particulier, en face des cas inquiétants.