La Débâcle – 1925

Jean se mit debout, secoua la tête, pour s’assurer qu’elle était solide. Il n’avait plus que le crâne un peu lourd. Ça irait très bien. Et il fut saisi d’un attendrissement d’homme simple, il empoigna Maurice, l’étouffa sur son cœur, en ne trouvant que ces mots,