Au Bonheur des dames

Au Bonheur des dames (paragraphe n°901)

Chapitre V

Cette nuit-là, Denise s'était résignée à faire de nouveau le cordonnier. Elle tenait ses souliers, les examinait, regardait comment elle pourrait les mener au bout du mois. Enfin, avec une forte aiguille, elle avait pris le parti de recoudre les semelles, qui menaçaient de quitter l'empeigne. Pendant ce temps, un col et des manches trempaient dans la cuvette, pleine d'eau de savon.

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