Germinal

Germinal (paragraphe n°2540)

Partie : Sixième partie, chapitre IV

Comme il se retrouvait près du terri, la lune se montra très claire. Il leva les yeux, regarda le ciel, où passait le galop des nuages, sous les coups de fouet du grand vent qui soufflait là-haut ; mais ils blanchissaient, ils s'effiloquaient, plus minces, d'une transparence brouillée d'eau trouble sur la face de la lune ; et ils se succédaient si rapides que l'astre, voilé par moments, reparaissait sans cesse dans sa limpidité.

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