Germinal

Germinal (paragraphe n°2958)

Partie : Septième partie, chapitre IV

Cependant, les Grégoire, à genoux, sanglotaient, suffoquaient de douleur. Leur fille adorée, cette fille désirée si longtemps, comblée ensuite de tous leurs biens, qu'ils allaient regarder dormir sur la pointe des pieds,qu'ils ne trouvaient jamais assez bien nourrie, jamais assez grasse ! Et c'était l'effondrement même de leur vie, à quoi bon vivre, maintenant qu'ils vivraient sans elle ?

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