Germinal

Germinal (paragraphe n°550)

Partie : Deuxième partie, chapitre II

Le coucou, en bas, sonna six heures. On entendit, le long des façades du coron, des bruits de portes, puis des claquements de sabots, sur le pavé des trottoirs : c'étaient les cribleuses qui s'en allaient à la fosse. Et le silence retomba jusqu'à sept heures. Alors, des persiennes se rabattirent, des bâillements et des toux vinrent à travers les murs. Longtemps, un moulin à café grinça, sans que personne s'éveillât encore dans la chambre.

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