L'Argent

L'Argent (paragraphe n°286)

Chapitre II

Le Carmel, ah ! quel désert, quelles journées de solitude ! C'est plein de myrtes et de genêts, cela sent bon, l'air tiède en est embaumé. Et il y a des aigles, sans cesse, qui planent très haut... Mais tout cet argent qui dort dans ce sépulcre, à côté de tant de misère ! On voudrait des foules heureuses, des chantiers, des villes naissantes, un peuple régénéré par le travail.

?>