La Bête humaine

La Bête humaine (paragraphe n°1849)

Chapitre XI

Oh ! mon chéri, si tu avais pu, que nous aurions été heureux, là-bas !... Non, non, je ne te demande plus de faire ce que tu ne peux pas faire ; seulement, je regrette tant notre rêve !... J'ai eu peur, tout à l'heure. Je ne sais pas, il me semble que quelque chose me menace. C'est un enfantillage sans doute : à chaque minute, je me retourne, comme si quelqu'un était là, prêt à me frapper... Et je n'ai que toi, mon chéri, pour me défendre. Toute majoie dépend de toi, tu es maintenant ma seule raison de vivre.

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