La Bête humaine

La Bête humaine (paragraphe n°62)

Chapitre I

Tu sais, moi, continua Roubaud, je ne voyais pas de mal à ce petit voyage. Tu aurais pu y rester jusqu'à jeudi, je me serais arrangé... N'est-ce pas ? dans notre position, nous avons besoin d'eux. Ce n'est guère adroit, de refuser leurs politesses ; d'autant plus que ton refus a eu l'air de lui causer une vraie peine... Aussi n'ai-je cessé de te pousser à accepter, que lorsque tu m'as tiré par mon paletot. Alors, j'ai dit comme toi, mais sans comprendre... Hein ! pourquoi n'as-tu pas voulu ?

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