La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°102)

Chapitre II

Je suis vraiment bien contrarié, monsieur, reprit-il. Le père Bourrette est sûrement un digne homme, seulement il est fâcheux que vous l'ayez chargé de votre affaire... Il n'a pas pour deux liards de tête... Si nous avions su, nous aurions tout préparé. Au lieu que nousvoilà maintenant avec un déménagement à faire... Vous comprenez, nous utilisions les chambres. Il y a là-haut, sur le plancher, toute notre récolte de fruits, des figues, des pommes, du raisin...

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