La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1087)

Chapitre XII

Cependant, dans le salon, l'abbé Faujas adressait de douces remontrances à monsieur Maffre, en lui disant que le docteur Porquier était un homme religieux, d'une grande honorabilité, et qu'il souffrait le premier de la déplorable conduite de son fils. Le juge de paix l'écoutait béatement ; sa face épaisse, ses gros yeux à fleur de tête, prenaient un air d'extase, à certains mots pieux que leprêtre prononçait d'une façon plus pénétrante. Il convint qu'il s'était montré un peu vif, il dit être prêt à toutes les excuses, du moment que monsieur le curé pensait qu'il avait péché.

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