La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1139)

Chapitre XIII

En effet, le jeune homme était d'un tempérament si nerveux, qu'il avait, à la moindre imprudence, des indispositions de fille, des bobos qui le retenaient dans sa chambre pendant deux ou trois jours. Rose le noyait alors de tisane et, lorsque Mouret montait pour le secouer un peu, comme il le disait, si la cuisinière était là, elle mettait son maître à la porte, en lui criant :

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