La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1180)

Chapitre XIII

Selon l'expression de ses amis du cours Sauvaire, des petits rentiers avec lesquels il faisait tous les jours son tour de promenade, Mouret " était touché. " Ses cheveux avaient grisonné en quelques mois, il fléchissait sur les jambes, il n'était plus le terrible moqueur que toute la ville redoutait. On crut un instant qu'il s'était lancé dans des spéculations hasardeuses et qu'il pliait sous quelque grosse perte d'argent.

?>