La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1245)

Chapitre XIV

Vois-tu, mon enfant, disait-il à l'abbé Surin, dans ses heures de confidences, ils sont pires tous les deux... Je crois que Paris l'emportera et que Rome sera battue ; mais je n'en suis pas assez sûr, je les laisse se détruire, en attendant. Quand l'un aura achevé l'autre, nous le saurons bien... Tiens, lis-moi la troisième ode d'Horace : il y a là un vers que je crains d'avoir mal traduit.

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