La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1276)

Chapitre XIV

Non, il a rompu entièrement avec moi. Je ne suis pas une sotte, j'ai compris la première la nécessité de cette séparation. D'ailleurs, je n'ai pas à me plaindre : ils'est montré très bon, il m'a mariée, il m'a donné d'excellents conseils, dont je me trouve bien... Mais j'ai gardé des amis à Paris. Je vous jure que vous n'avez que juste le temps de vous raccrocher aux branches. Ne faites plus le païen, allez vite donner une poignée de main à l'abbé Faujas... Vous comprendrez plus tard, si vous ne devinez pas aujourd'hui.

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