La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1406)

Chapitre XV

Trois cents francs, c'est juste ce qu'il demande, dit-elle. Allez, vous auriez rendu un plus grand service à mon frère, en ne lui faisant pas ce cadeau, qui restera àl'église, d'ailleurs. Que de belles choses les dames de Besançon lui ont apportées ! Aujourd'hui, il n'en est pas plus riche pour cela. Ne donnez plus rien, c'est une volerie. Consultez-moi. Il y a tant de misères cachées ! Non, cent francs ne suffiront jamais.

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