La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1568)

Chapitre XVI

Oui, je comprends, continua-t-elle, tu as toujours peur que nous ne gâtions tes affaires... La meilleure façon pour que nous ne les gâtions pas, c'est de ne point nous taquiner. Quand tu répéteras : " Ah ! si j'avais su, je vous aurais laissés où vous étiez ! " Tiens ! tu n'es pas fort, malgré tes grands airs. Nous avons les mêmes intérêts que toi ; nous sommes en famille, nous pouvons faire notre trou tous ensemble. Ce serait tout à fait gentil, si tu voulais... Va te coucher. Je gronderai Trouche demain ; je te l'enverrai, tu lui donneras tes ordres.

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