La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1591)

Chapitre XVI

Monsieur de Bourdeu, depuis qu'il était question des élections générales, devenait inquiet ; il disait que les premières chaleurs le fatiguaient beaucoup. Souvent, il avait des scrupules, il témoignait des doutes à monsieur Rastoil, pour que celui-ci le rassurât. Jamais, d'ailleurs, on n'abordait la politique dans le jardin des Mouret. Une après-midi, monsieur de Bourdeu, après avoir vainement cherché une transition, s'écria, en s'adressant au docteur Porquier :

?>