La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1629)

Chapitre XVII

On m'a dit qu'il te serrait de près, continua l'oncle bruyamment. Ces soutanes n'aiment qu'à godailler. Quand on m'a raconté ça, j'ai répondu que c'était bien fait pour Mouret. Je l'avais averti... Ah ! c'est moi qui te flanquerais le curé à la porte. Mouret n'a qu'à venir me demander conseil ; je lui donnerai même un coup de main, s'il veut. Je n'ai jamais pu les souffrir, ces animaux-là... J'en connais un, l'abbé Fenil, qui a une maison de l'autre côté de la route. Il n'est pas meilleur que les autres ; mais il est malin comme un singe, il m'amuse. Jecrois qu'il ne s'entend pas très bien avec ton curé, n'est-ce pas ?

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