La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°1929)

Chapitre XVIII

Cependant, tous les matins, Trouche tâchait d'effrayer l'abbé Faujas, dans l'entretien qu'il avait régulièrement avec lui. Il lui donnait les nouvelles les plus alarmantes : les ouvriers du vieux quartier s'occupaient beaucoup trop de la maison Mouret ; ils parlaient de voir le bonhomme, de juger son état, de prendre son avis.

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