La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°2154)

Chapitre XX

Tant pis pour elle, répondait-il. Si ce farceur de Mouret est là-bas, c'est qu'elle l'a bien voulu. A la place de Faujas, je sais comment j'arrangerais les choses ; je la rendrais contente et douce comme un mouton. Mais il est bête, Faujas ; il y laissera sa peau, tu verras... Ecoute, mafille, ton frère n'est pas assez gentil avec nous pour qu'on le tire d'embarras. Moi, je rirai le jour où la propriétaire lui fera faire le plongeon. Que diable, quand on est bâti comme ça, on ne met pas une femme dans son jeu !

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