La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°2196)

Chapitre XX

Voyons, mon cher curé, vous me permettrez de vous parler à cœur ouvert. Eh bien ! vous avez tort de vous négliger. C'est à peine si votre barbe est faite, vous ne vous peignez plus, vos cheveux sont ébouriffés comme si vous veniez de vous battre à coups de poing. Je vous assure, cela produit un très mauvais effet... Madame Rastoil et madame Delangre me disaient hier qu'elles ne vous reconnaissaient plus. Vous compromettez vos succès.

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