La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°2231)

Chapitre XX

Elle le grondait aussi amicalement de sa mauvaise tenue. Elle sentait, de son flair de femme adroite, qu'il abusait de la victoire. Puis elle excusait sa fille ; la chère enfant avait beaucoup souffert, sa sensibilité nerveuse demandait de grands ménagements ; d'ailleurs, elle possédait un excellent caractère, un naturel aimant, dont un homme habile devait disposer à sa guise. Mais, un jour qu'elle lui enseignait ainsi la façon de faire de Marthe tout ce qu'il voudrait, l'abbé Faujas se lassa de ces éternels conseils.

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