La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°2340)

Chapitre XXI

Marthe, dont les genoux fléchissaient, le regardait avec anxiété, rendue muette par cet accueil attendri. D'ailleurs, il n'avait point changé ; il se portait même mieux, gros et gras, la barbe faite, les yeux clairs. Ses tics de bourgeois satisfait avaient reparu ; il se frotta les mains, cligna la paupière droite, piétina, en bavardant de son air goguenard des bons jours.

?>