La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°301)

Chapitre IV

Voyez-vous, je crois à un léger affaissement des tuiles, peut-être même y en a-t-il une de brisée ; à moins que ce ne soit cette lézarde que vous apercevez là, le long de la corniche, qui se prolonge dans le mur de soutènement.

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