La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°386)

Chapitre V

Mais vous vous trompez, répliqua Félicité, vous vous trompez, entendez-vous, Mouret ! Ne dirait-on pas que mon salon est un club ? C'est ce que je n'ai pas voulu. Toute la ville sait que je tâche de rendre ma maison aimable. Si l'on cause politique chez moi, c'est dans les coins, je vous assure. Ah bien ! la politique, elle m'a assez ennuyée, autrefois... Pourquoi dites-vous cela ?

?>