La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°598)

Chapitre VII

Non. D'ailleurs, le chemin n'est pas long, de la rue de la Banne à ici ; nous n'avons pas mis trois minutes. Il marchait à côté de moi, sans me donner le bras ; il faisait de si grandes enjambées, que j'étais presque forcée de courir... Je ne sais ce qu'on a à s'acharner ainsi après lui. Il n'a pas l'air heureux. Il grelottait, le pauvre homme, dans sa vieille soutane.

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