La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°693)

Chapitre VIII

A cette heure de l'après-midi, il n'y avait pas une dévote, la nef et les bas-côtés étaient déserts, encombrés d'une débandade de chaises que deux bedeaux rangeaient bruyamment. Des maçons s'appelaient du haut deséchelles, au milieu d'un bruit de truelles grattant les murs. Saint-Saturnin n'avait rien de religieux, si bien que Marthe ne s'était pas même signée. Elle s'assit devant la chapelle en réparation, entre l'abbé Faujas et monsieur Lieutaud, comme elle l'aurait fait dans le cabinet de travail de celui-ci, si elle était allée prendre son avis chez lui.

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