La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°783)

Chapitre IX

Vous m'étonnez beaucoup, dit Félicité avec un sourire. Marthe paraissait vous craindre ; je la trouvais même trop faible, trop obéissante. Une femme ne doit pas trembler devant son mari.

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