La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°868)

Chapitre X

Je ne te comprends pas, vraiment. Lorsque j'ai loué à l'abbé, tu boudais, tu ne voulais pas laisser entrer un chat chez toi ; maintenant, l'abbé t'amènerait toute sa famille, toute la séquelle, jusqu'aux arrière-petits-cousins, que tu lui dirais merci... Je t'ai pourtant assez tirée par la robe. Tu ne le sentais donc pas ? C'était bien clair, je ne voulais pas de ces gens... Ce ne sont pas d'honnêtes gens.

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