La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°872)

Chapitre X

Enfin, je le sais, cela suffit... La sœur est une sans-cœur, et le mari, un garnement. Tu as beau prendre tes airs de reine offensée : ce sont leurs paroles, je n'invente rien. Tu comprends, je n'ai pas besoin de cette cliquechez moi. La vieille était la première à ne pas vouloir entendre parler de sa fille. Maintenant, l'abbé dit autrement. J'ignore ce qui a pu le retourner. Quelque nouvelle cachotterie de sa part. Il doit avoir besoin d'eux.

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