La Conquête de Plassans

La Conquête de Plassans (paragraphe n°973)

Chapitre XI

J'ai peur, c'est vrai, reprit-il en se laissant tomber de nouveau dans son fauteuil ; j'en suis à ce point. C'est ce malheureux qui a tué Compan et qui m'a fait cacher son agonie, pour que je ne puisse aller lui fermer les yeux ; il a des inventions terribles... Mais, voyez-vous, j'aime mieux vivre en paix. Fenil est très actif, il me rend de grands services dans le diocèse. Quand je ne serai plus là, les choses s'arrangeront peut-être plus sagement.

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