La Curée

La Curée (paragraphe n°1057)

Chapitre V

Moi, continua-t-il, j'étais né pour vivre heureux et ignoré au fond de quelque village, avec toute ma famille à mes côtés... On ne me connaît pas, mon petit... J'ai l'air comme ça très en l'air. Eh bien, pas du tout, j'adorerais rester près de ma femme, je lâcherais volontiers mes affaires pour une rente modeste qui me permettrait de me retirer à Plassans... Tu vas être riche, fais-toi avec Louise un intérieur où vous vivrez comme deux tourtereaux. C'est si bon ! J'irai vous voir. Ça me fera du bien.

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