La Curée

La Curée (paragraphe n°1087)

Chapitre V

Vraiment, je ne te comprends pas. Tu es une singulière femme. Hier, c'est ta faute, si j'ai été grossier. Tu m'aurais dit que c'était mon père, je m'en serais allé tranquillement, tu comprends ? Moi, je n'ai pas de droit... Mais tu vas me nommer monsieur de Saffré !

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