La Curée

La Curée (paragraphe n°608)

Chapitre IV

Non, vrai, continua-t-elle en s'animant, je ne vous comprends pas, elles sont sales et bêtes... Et dire que, lorsque je te voyais aller chez ta Sylvia, je m'imaginais des choses prodigieuses, des festins antiques, comme on en voit dans les tableaux, avec des créatures couronnées de roses, des coupes d'or, des voluptés extraordinaires... Ah ! bien, oui. Tu m'as montré un cabinet de toilette malpropre et des femmes qui juraient comme des charretiers. Ça ne vaut pas la peine de faire le mal.

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