La Curée

La Curée (paragraphe n°639)

Chapitre IV

Il la tenait toujours, et elle donnait de petites secousses avec ses poignets pour se dégager. Ils avaient des yeux qu'ils ne se connaissaient pas, un long sourire contraint et un peu honteux. Elle tomba sur les genoux, au bord du divan. Ils continuaient à lutter, bien qu'elle ne fit plus un mouvement du côté de la glace et qu'elle s'abandonnât déjà. Et comme le jeune homme la prenait à bras-le-corps, elle dit avec son rire embarrassé et mourant :

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