La Curée

La Curée (paragraphe n°725)

Chapitre IV

J'ai là encore une lettre d'une pauvre jeune femme... Si nous avions de la lumière, je vous la ferais lire... Imaginez-vous que son mari ne s'occupe pas d'elle.Elle avait signé des billets, elle a été obligée d'emprunter à un monsieur que je connais. C'est moi qui ai retiré les billets des griffes des huissiers, et ça n'a pas été sans peine... Ces pauvres enfants, croyez-vous qu'ils font le mal ? Je les reçois chez moi, comme s'ils étaient mon fils et ma fille.

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