La Curée

La Curée (paragraphe n°802)

Chapitre V

Pour se consoler, la jeune femme étonna la plage par des costumes prodigieux. Toute la bande de ces dames était là, à bâiller, à attendre l'hiver, en cherchant avecdésespoir un costume de bain qui ne les rendît pas trop laides. Jamais Renée ne put décider Maxime à se baigner. Il avait une peur abominable de l'eau, devenait tout pâle, quand le flot arrivait jusqu'à ses bottines, ne se serait pour rien au monde approché du bord d'une falaise ; il marchait loin des trous, faisant de longs détours pour éviter la moindre côte un peu roide.

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