La Curée

La Curée (paragraphe n°811)

Chapitre V

Elle trouva son père dans un salon donnant sur la cour, où il se tenait d'habitude. Il lisait un grand livre placé sur un pupitre adapté aux bras de son fauteuil. Devant une des fenêtres, la tante Elisabeth tricotait avec de longues aiguilles de bois ; et, dans le silence de la pièce, on n'entendait que le tic-tac de ces aiguilles.

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