La Débâcle

La Débâcle (paragraphe n°2233)

Chapitre I

Les préparatifs avaient traîné, il était près de sept heures, lorsque Silvine et Prosper, derrière l'étroite charrette que le petit âne gris tirait, la tête basse, descendirent les pentes raides de Remilly. Il avait plu abondamment pendant la nuit, les chemins se trouvaientchangés en fleuves de boue ; et de grandes nuées livides couraient dans le ciel, d'une tristesse morne.

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