La Débâcle

La Débâcle (paragraphe n°234)

Partie : PREMIERE PARTIE, chapitre II

Tonnerre de Dieu ! veux-tu te taire à la fin, cochon !... Voilà des heures que je ne dis rien, puisqu'il n'y a plus de chefs et que je ne puis seulement pas vous faire coller au bloc. Bien sûr, oui ! j'aurais rendu un fier service au régiment, en le débarrassant d'une fichue crapule de ton espèce... Mais écoute, du moment où les punitions sont de la blague, c'est à moi que tu auras affaire. Il n'y a plus de caporal, il y a un bon bougre que tu embêtes et qui va te fermer le bec... Ah ! sacré lâche, tu ne veux pas te battre, et tu cherches à empêcher les autres de se battre ! Répète un peu voir, que je cogne !

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