La Débâcle

La Débâcle (paragraphe n°2561)

Chapitre III

Je t'assure, il faut que je parte... On m'attend, je mourrais d'angoisse, si je ne partais pas... Tu ne peux t'imaginer ce qui bouillonne en moi, à l'idée de me tenir tranquille. Je te dis que ça ne peut pas finir ainsi, qu'il faut nous venger, contre qui, contre quoi ? ah ! je ne sais pas, mais nous venger enfin de tant de malheur, pour que nous ayons encore le courage de vivre !

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