La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1110)

Partie : Livre 2, chapitre XI

Je t'aime parce que tu es venue. Cela dit tout... Maintenant, nous sommes ensemble, nous nous aimons. Il me semble que je ne vivrais plus, si je ne t'aimais pas. Tu es mon souffle.

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