La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1203)

Partie : Livre 2, chapitre XIV

A partir de ce jour, ils eurent peur de la chambre, de même qu'ils avaient peur du jardin. Leur dernier asile devenait un lieu redoutable, où ils ne pouvaient setrouver ensemble, sans se surveiller d'un regard furtif. Albine n'y entrait presque plus ; elle restait sur le seuil, la porte grande ouverte derrière elle, comme pour se ménager une fuite prompte.

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