La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1251)

Partie : Livre 2, chapitre XV

En effet, le parc entier les poussait doucement. Derrière eux, il semblait qu'une barrière de buissons se hérissât, pour les empêcher de revenir sur leurs pas ; tandis que, devant eux, le tapis des gazons se déroulait, si aisément, qu'ils ne regardaient même plus à leurs pieds, s'abandonnant aux pentes douces des terrains.

?>