La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1455)

Partie : Livre 3, chapitre II

Tiens ! c'est parce que je mange ! s'écria-t-elle. Toi, si tu mangeais, tu deviendrais très gros... Tu es donc encore malade ? Tu as l'air tout triste... Je ne veux pas que ça recommence, entends-tu ? Je me suis trop ennuyée, pendant qu'on t'avait emmené pour te guérir.

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