La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1509)

Partie : Livre 3, chapitre III

Et il s'éloigna, l'air solide, la tête droite, ayant vaincu. Sa soutane, le long des bordures de thym, avait un frôlement très doux. La Teuse, qui était restée plantée à la même place, ramassa son écuelle et sa cuiller de bois, en bougonnant. Elle mâchait entre ses dents des paroles qu'elle accompagnait de grands haussements d'épaules.

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