La Faute de l'Abbé Mouret

La Faute de l'Abbé Mouret (paragraphe n°1610)

Partie : Livre 3, chapitre V

Non, non, il recommencerait ses farces. Je le lâcherai, lorsque je m'en irai... Je vous disais donc, curé, quand ce gredin s'est jeté entre nous, que vous seriez le bienvenu là-bas. La petite est maîtresse, vous savez. Je ne la contrarie pas plus que mes salades. Tout ça pousse... Il n'y a que des imbéciles comme ce calotin-là pour voir le mal... Où as-tu vu le mal, coquin ! C'est toi qui as inventé le mal, brute !

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